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Magny en histoire de 451 à 1899

On découvre le début de l’histoire de Magny le Hongre à travers la monographie écrite par Charles Fauvet. Il était instituteur dans notre commune en 1888.

451

Au printemps, Attila, le chefs des Huns, se lance dans une campagne contre la Gaule à la tête d’une armée réunissant les Huns et leurs vassaux germaniques traverse l’Allemagne en vue de conquérir Paris. Mais, Sainte-Geneviève arrête Attila par ses prières devant Paris. La légende évoque même le secteur de Magny.

Sainte-Geneviève

861

Les Normands envahissent et détruisent la région.

865

Les Normands sont de retour. Ils font le siège de Meaux, pillent et incendient les communes du secteur dont Magny.

1000

Magny était divisé en plusieurs fiefs, dont ceux des chanoines de Sainte-Geneviève du Mont, à Paris, qui ont construit l’église.

1172

Notre commune s’appelle alors Magny-Sainte-Geneviève.

L’eau de la fontaine Sainte-Geneviève est considérée comme miraculeuse depuis que l’on aurait présenté un enfant mort né à Sainte-Geneviève et qu’elle l’aurait baptisé et cet enfant serait revenu à la vie. Ensuite, s’est tenu un pèlerinage religieux par la fontaine miraculeuse de Magny le Hongre tous les 3 janvier afin de célébrer la mort de Sainte-Geneviève le 3 janvier 512.

L’eau de cette fontaine passait pour guérir toutes sortes de maladies, particulièrement, la fièvre.

De nombreux malades affluent et l’église est trop petite pour contenir tout le monde. Faute de place, de nombreuses personnes suivent l’office religieux depuis l’extérieur.

A la fin de la cérémonie, la foule emprunte un parcours déterminé, menant vers la fontaine. Ils repartent avec des récipients remplis d’eau de la fontaine. D’autres croyants s’y trempent. A leur départ, ils touchent la statue de Sainte-Geneviève.

Ces pèlerinages s’arrêtent en 1882.

1194

Gaucher III de Châtillon, sire de Crécy, cède ses droits à l’abbaye de Saint-Denis et affranchit les bois de Serris et de Magny des exactions des seigneurs de Tournan.

Gaucher III de Châtillon

1196

Gaucher III de Châtillon et son épouse Elisabeth abandonnent les bois de Jossigny et de Magny aux chanoines de Sainte-Geneviève.

1226

Guy de Châillon, fils de Gaucher III de Châtillon, et seigneur de Crécy cède au couvent de Pont-aux-Dames une rente de 10 livres sur la terre de Magny en échange de messe et service solennel tous les ans.

1400

Notre village s’appelle Maigni, Mangnys Sainte-Geneviève, puis Magny Sainte-Geneviève jusque vers 1412.

1412

Les terres de notre commune appartiennent à Jacques le Hongre, écuyer, général conseiller sur le fait de la justice des aides. C’est lui, très probablement, qui laissa son nom au village appelé par la suite, tantôt Magny Sainte-Geneviève, tantôt Magny le Hongre.

1420

Les anglais envahissent la région.

1439

Les anglais sont de retour. Ils font le siège de eaux et pillent tout le secteur.

1522

L’hiver est très rigoureux sur le secteur. Le blé gèle et la famine s’installe. En mars les agriculteurs sèment de l’orge pour remplacer le blé.

La peste fait rage jusqu’en 1524.

1530

Les Chanoines de Saint-Maur (ville aujourd’hui située dans le Val-de-Marne)

1540

Le très bel été produit des vins colorés et de bonne garde qui sont surnommé des “vins rôtis”.

1562

Magny est touchée par une grosse tempête de grêle qui ravage les champs.

1587

Retour de la peste à Magny et dans les communes avoisinantes.

1589

Lors de la rédaction de la coutume de Paris, Thomas le Pilleur, conseiller notaire et secrétaire du roi, contrôleur de l’audience de Paris, est seigneur et châtelain de Bailly, Serris, Chatou, Magny le Hongre et Vères en partie.

Il y avait alors le petit château construit sur son fief qui prit le nom des Pilleurs, nom conservé par la suite avec des altérations. Ainsi, on retrouve plus tard au XVIIIe siècle, le fief d’Epilleurs, appelé aussi de Pileuse, ou Esblemeuse. À cette époque, le château n’existait plus ; il ne restait que les fossés et le fief était alors sans importance.

1591

La guerre de la Ligue se déroule en France. Cette guerre de religion n’épargne pas Magny le Hongre. La majorité des terres sont en friches laissant place aux rats et mulots. Ces derniers dévorent les grains.

1598

Dans la nuit du 18 au 19 avril, toutes les vignes gèlent.

1600

La princesse de Rohan-Guéménée, créée à Coupvray une école où 6 enfants pauvres, dont certains de Magny, sont éduqués pendant 5 ans.

1603

Françoise de Laval, princesse de la maison de Rohan, duchesse de Montbazon, fonde le Mont de Piété de Coupvray, un collège pour élever six enfants pauvres choisis dans les paroisses de ses domaines, Magny le Hongre fournit un de ces enfants. La seigneurie de Sainte-Geneviève de Magny comprend droit de haute, moyenne et basse justice ; les premières causes étaient jugées dans le village même, les appels allaient au Châtelet de Paris.

Lorsque Françoise de Laval, princesse de la maison de Rohan, duchesse de Montbazon, fonda le Mont de Piété de Coupvray, un collège pour élever six enfants pauvres choisis dans les paroisses de ses domaines, Magny le Hongre pouvait fournir un de ces enfants.

Pour subvenir aux frais de sa fondation, la duchesse de Montbazon affecta notamment 3 muids de blé de rente, tel qu’il était recueilli dans ses fermes de Coupvray, Voulangis, Magny et Lesches, et 500 livres de rente à prendre sur les revenus des mêmes fermes.

1608

Un froid implacable règne durant 4 mois. Il est difficile de sortir. Quelques habitants meurent de froid.

1623

Le curé de Magny s’appelle Jean Hébert, il est attaché à l’évêque de Meaux, Jean de Vieupont.

1644

L’ancien domaine des Le Pilleur est acquis par le prince de Rohan-Guéménée, Louis de Rohan, seigneur de Coupvray, Lesches et Magny le Hongre ; il obtint des lettres du roi pour renouveler le terrier de ces seigneuries.

1650

Le nouveau curé de Magny le Hongre est M. Denest. Il réside au presbytère de Magny. Il officie durant 54 ans et meurt en 1735.

1669

Un premier instituteur arrive à Magny. Il aura des successeurs jusque vers 1804. Pour être instituteur, il suffit de savoir lire le latin, chanter et écrire. Ils doivent aussi sonner l’Angélus à 5h, 11h et 19h et porter l’eau bénite le dimanche. Ils touchent 50 livres par an. Ils ont aussi le droit à un seau de vin, par an, chez chaque vigneron.

L’école est ouverte de 8h à 10h et de 14h à 17h.

L’école se déroule dans la maison du maître, les enfants sont assis par terre.

Peu d’enfants vont à l’école, car il faut payer et apporter son propre bois de chauffage l’hiver. Peu de familles en ont les moyens.

1674

L’abbaye du Pont-aux-Dames. (Ordre de Citeaux),

1688

Décès de monsieur Masse Petit 1688, percepteur du prieuré Sainte-Geneviève. Sa dalle funéraire est aujourd’hui dans le lavoir après avoir été dans l’église de Magny au XVIIe siècle.

1695

Le prince de Rohan-Guéménée, qui possède déjà une partie de la seigneurie de Magny achète le fief des Cardinaux et celui de la Tournelle de Magny.

1709

Hiver très rigoureux. le blé, les arbres fruitiers et les vignes gèlent. Il faut coup le pied d’une grande partie. En mars, les agriculteurs labourent de l’orge.

1715

Nouvel hiver rigoureux. Les ruisseaux et la Marne restent gelés pendant 7 semaines.

1722

Magny le Hongre compte 222 habitants.

1735

Une première pierre tombale est construite au sein de l’église. Il s’agit de celle de l’abbé Demest, curé de Magny durant 54 ans, mort en 1735.

1742

Une seconde pierre tombale est construite au sein de l’église. Il s’agit de celle de Estienne Jacques Théodore Taveau, mort le 30 mars 1742, à l’âge de 10 ans. Il est le fils d’Étienne Taveau, notaire à Mormant (77), et de Marie-Françoise Bocquet. Il est à noter que cette pierre a été scellée dans le chœur lors des travaux de restauration de l’église en 1992.

1752

Une seconde pierre tombale est construite au sein de l’église. Il s’agit de celle de l’abbé Cœur de Chêne, mort en 1752.

1786

Nottin, juge; Hébert, procureur fiscal ; Nottin, notaire à Quincy, greffier. La ferme seigneuriale de Magny appartenait à l’abbaye de Sainte-Geneviève de Paris et comprenait, au XVIIIe siècle, 228 arpents et les grosses dîmes de la paroisse. Le tout était loué le 12 juillet 1786 à Delaunay moyennant 4 000 livres et un muid de blé.

Le chef-lieu de l’ancien fief de Sainte Geneviève est aujourd’hui la ferme qui appartient à M. Le marquis de Plessis Bellière, marié à Mlle de Pastoret (elle comprend 250 hectares).

1791

Le 16 octobre, les habitants présentent une pétition demandant l’expulsion du sieur Thiébault, réfractaire à la loi qui ne cesse de critiquer ouvertement le Gouvernement. Il raconte que les actes de l’Assemblée nationale sont inouïs.

1792

Le 3 janvier, nomination d’une commission municipale pour être présents à la première enchère des biens nationaux de la paroisse.

Tableau des biens à vendre, 7 juillet 1792

Le 8 septembre, 21 habitants sur 30 électeurs, âgés de 18 à 40 ans, s’engagent comme soldat volontaire contre l’empire d’Autriche, auquel s’allie en juillet le royaume de Prusse.

1793

Le 10 novembre, un comité de surveillance de la commune est élu.

L’église prend le nom de Temple.

La commune de Magny le Hongre est placée dans le canton de Crécy-la-Chapelle.

1794

Le conseil municipal vote une somme de 500 livres pour rémunérer l’instituteur qui fait classe du 24 septembre au 24 juin. Le loyer de la maison de l’instituteur, d’un montant de 30 livres, est pris en charge par la cité. L’école devient donc gratuite pour tous les enfants du village. Le nouvel instituteur s’appelle Jean-Matthieu Malin.

1800

Magny le Hongre compte 211 habitants.

1804

L’instituteur Jean-Matthieu Malin quitte la commune. Jusqu’en 1817, il n’y a pas de traces d’instituteur à Magny dans les registres de la mairie.

1814

Durant la Campagne de France,la guerre menée par la Sixième Coalition contre l’Empire français, qui se déroule de fin décembre 1813 à avril 1814 et pendant laquelle Napoléon 1er tente d’arrêter l’invasion de la France et de conserver son trône, des soldats russes et prussiens logent à Magny le Hongre. De nombreux habitants préfèrent fuir et se réfugient sur les bords du rû du Lochy.

1816

Le 22 juillet se déroule la délibération pour la répartition des secours accordés aux habitants qui ont logé des troupes prussiennes.

1820

L’école communale est équipée d’une table longue sur quatre pieds et de bancs mobiles. Le maître est rétribué selon le niveau des élèves : 0,50 Franc par élève sachant seulement lire, 1 Franc par élève sachant lire et compter, 1, 50 Francs par élève sachant lire compter et écrire.

1825

Un très gros orage de grêle détruit toutes les récoltes du village. Les pertes sont considérables. Le Gouvernement accorde une aide 300 Francs qui est répartie entre les sinistrés.

1833

Cartographie de Magny le Hongre en 1833

1835

Le 28 juillet, le maréchal Édouard Mortier est tué avec onze autres personnes dans un attentat à la hauteur du 50 boulevard du Temple à Paris. Ces faits sont organisés par Giuseppe Fieschi, un conspirateur français, avec l’aide de Pierre Pépin (un droguiste), Boireau (un ouvrier) et Pierre Morey (un sellier).

Attentant du Temple

Pierre Pépin fuit Paris et se cache chez monsieur Philippe Rousseau, l’un des plus riches cultivateurs de Magny le Hongre qui demeure au lieu dit Bellesme (il possède deux fermes). Pierre Pépin est arrêté quelques jours plus tard par les gendarmes.

Ils sont tous condamnés à mort et exécutés le 30 janvier 1836. Philippe Rousseau échappe de peu à l’échafaud. Il sera par la suite maire de Magny le Hongre. Philippe Rousseau est né le 7 janvier 1777 à Magny le Hongre et est décédé le 17 septembre 1839 à Bailly-Romainvilliers.

Extrait d’archives parlementaires

Pour information, la tombe de la famille Rousseau est située aujourd’hui dans l’ancien cimetière de Magny.

1840

Registre d’actes d’état civil 1840
Journal de Seine-et-Marne, 18 janvier 1840
La Presse, 21 janvier 1840. Cette ferme est tenue par Philippe Rousseau

1844

Naissance à Magny de Pierre Brunet, futur ingénieur des Ponts et Chaussées.

1848

Construction d’une première vraie école qui sera utilisée jusqu’en 1994. Elle peut recevoir jusque 40 élèves. Au rez-de-chaussée se situe la classe et au premier étage le logement de l’instituteur et le bureau du maire.

La seule école de Magny au début des années 1900 (aujourd’hui rue des Anciennes Mairies)
L’ancienne école aujourd’hui

1850

L’école comporte 30 élèves en hiver (15 filles et 15 garçons) et seulement 15 élèves durant l’été car beaucoup travaillent dans les champs.

1854

Journal des débats politiques et littéraires, 10 décembre 1854

Informations complémentaires : Louis Joseph Charpentier est décédé le 13 septembre 1872 à Magny le Hongre.

1858

Le Comice de Crécy, 30 mai 1858

1863

Dimanche 22 février, la nouvelle cloche de l’église est inaugurée par le curé de Magny, monsieur Bacqué, et le maire, Célestin Hubert Isidore Constant qui est cultivateur (né en 1817 et mort en 1895). Elle a été coulée en 1862. Cette cloche remplace l’ancienne qui est cassée.

1865

Le maire est Célestin Ernest Constant. Il épouse le 20 janvier 1873 Lucile Adelina Picard à Magny le Hongre. Il meurt le 05 juillet 1897 à Magny le Hongre.

1867

Conseil Général de Seine-et-Marne, janvier 1867
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 11 août 1867

1868

De nombreux incendies se déclarent dans le village. Ils sont attribués à un pyromane jamais identifié.

L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 31 mai 1868
L’Avenir National, 5 juin 1868
Journal de Seine-et-Marne, 1er août 1868

1869

Journal de Seine-et-Marne, 27 février 1869
Journal Officiel de l’Empire Français, 18 juin 1869

La 10 mai, Monsieur Laisné devient le nouveau maire en remplacement de Joseph Lepoivre, démissionnaire (né le 6 octobre 1846 à Bailly-Romainvilliers et décédé le 18 octobre 1879 à Magny-le-Hongre). Étienne Laisné (né le 1er mars 1818 à Magny le Hongre) épouse Marie Héloïse Boyer en 1844. Il est cultivateur vigneron.

Joseph Louis Lepoivre est né le 66 octobre 1846 à Bailly-Romainvilliers. Il est décédé le 18 octobre 1879 à Magny le Hongre. Il est charron. Le 19 octobre 1868, à Saint-Germain-sur-Morin, il épouse Eugénie Désirée Aufroye. Ils ont un enfant : Lucien Eugène Louis (né le 18 novembre 1872 à Magny le Hongre).

Journal de Seine-et-Marne, 15 mai 1869

Les paysans se révoltent contre les taxes. Magny le Hongre n’échappe pas à la règle. C’est la Jacquerie de Lagny à Meaux.

1870

Les habitants de Magny souffrent de l’arrivée des prussiens sur Paris. L’État-major prussien, l’Empereur Guillaume, le prince de Bismarck et le comte von Moltke traversent Magny pour se rendre au château de Ferrières.

Journal de Seine-et-Marne, 12 février 1870
Journal de Seine-et-Marne, 30 avril 1870

1872

La commune de Magny le hongre achète une horloge pour le centre du bourg 820 Francs.

1873

Journal de Seine-et-Marne, 20 avril 1873

1874

Journal de Seine-et-Marne, 8 novembre 1874
Journal de Seine-et-Marne, 15 novembre 1874. Eugène Émile Cholin est né le 6 décembre 1858 à Saint-Germain-sur-Morin. Il est décédé le 22 septembre 1914 alors qu’il était soldat.

1875

Journal de Seine-et-Marne, 8 août 1875

1876

L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 22 janvier 1876. Louis Ferdinand Coquelet est né le 31 janvier 1806 à Magny le Hongre. Il est décédé le 16 juillet 1890 à Magny le Hongre

1878

Journal de Seine-et-Marne, 10 novembre 1878

1883

Journal de Seine-et-Marne, 21 janvier 1883

1884

Journal de Seine-et-Marne, 6 avril 1884
Le Figaro, 14 août 1884
Journal de Seine-et-Marne, 15 octobre 1884
Journal de Seine-et-Marne, 19 octobre 1884

1885

Le cimetière est transféré à 300 mètres du village. Le coût des travaux s’élèvent à 5 000 Francs. C’est aujourd’hui celui que l’on appelle “l’ancien cimetière”. situé rue du Moulin à Vent.

Journal de Seine-et-Marne, 29 novembre 1885

1886

Charles Fauvet est nommé instituteur de Magny le Hongre en remplacement de Monsieur Ourry décédé.

Journal de Seine-et-Marne, 9 avril 1886

1887

L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 22 janvier 1887
Le Temps, 1er juin 1887

1888

Journal de Seine-et-Marne, 16 mars 1888

10 décembre, fin de la rédaction de la monographie de Magny le Hongre par l’instituteur du village, Charles Fauvet.

Charles Désiré Fauvet est né le 13 juin 1862 à Saint-Martin-du-Boschet (Seine-et-Marne). Le 8 novembre 1884, à Saint-Martin-du-Boschet (Seine-et-Marne) il épouse Alphonsine Louise Mathilde Bontour (1861/1889). Ils ont un fils : Marcel, né le 8 décembre 1887 à Magny-le-Hongre. Charles Fauvet épouse, en seconde noce Joséphine Angèle Noël (née en 1863) le 16 octobre 1890 à Saint-Denis-lès-Rebais (Seine-et-Marne). Elle est également institutrice. De cette union est né Robert Fauvet, né le 1er septembre 1889) à Saint-Martin-du-Boschet (Seine-et-Marne).

1890

Journal de Seine-et-Marne, 21 novembre 1890

1891

Le 10 février, Le maire ferme la fontaine de Magny pour y installer une pompe pour y puiser l’eau. Le tout pour éviter des accidents et assurer la salubrité des eaux. Le coût de l’opération s’élève à 110 Francs.

Journal de Seine-et-Marne, 10 avril 1891
L’Événement, 25 novembre 1891

1892

Léonidas Mauger Pottier est élu maire.

Le chœur et le clocher de l’église sont entièrement reconstruits et mise en place de trois verrières. Ces travaux sont conduits par l’architecte Charles-Antoine Couteau (1824/1897). Il est né à Magny le Hongre. En 1862, il réalise la construction du théâtre de Baden-Baden, en Allemagne ou encore le Saint-Joseph de Fontmaure à Chamalières (Puy-de-Dôme) en 1860.

Journal de Seine-et-Marne, 18 mai 1892

1893

Journal de Seine-et-Marne, 15 mars 1893
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 17 juin 1893
Annales de l’École libre des sciences politiques, 1893

1894

L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 28 avril 1894

1895

Journal de Seine-et-Marne, 18 janvier 1895
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 28 septembre 1895

1896

Journal de Seine-et-Marne, 17 juillet 1896
Journal de Seine-et-Marne, 5 août 1896
Journal de Seine-et-Marne, 30 août 1896
Journal de Seine-et-Marne, 29 novembre 1896
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 20 décembre 1896

1897

Journal de Seine-et-Marne, 9 avril 1897
La Tir National, 1er mai 1897
Journal de Seine-et-Marne, 23 juin 1897
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 1 août 1897
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 11 novembre 1897
L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 2 décembre 1897

1898

L’Éclaireur de l’arrondissement de Coulommiers, 17 mars 1898
Journal de Seine-et-Marne, 1er avril 1898
Journal de Seine-et-Marne, 1er avril 1898
Journal de Seine-et-Marne, 1 mai 1898
Journal de Seine-et-Marne, 11 septembre 1898

1899

Journal de Seine-et-Marne, 5 février 1899
Journal de Seine-et-Marne, 28 juin 1899
Journal de Seine-et-Marne, 20 octobre 1899
Journal de Seine-et-Marne, 20 décembre 1899

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